Si l'Allocation de première année de Master, nouveau dispositif d'aide pour les étudiants, n'a déclenché aucune désapprobation, à l'inverse le Prêt à taux zéro (ARRPE) de la Région, est critiqué dans les rangs de l'opposition régionale. Le président Didier Robert en premier, puis Yolaine Costes et Huguette Vidot, déléguée à l'Education et à l'Enseignement supérieur, ont insisté sur toutes les opportunités de cette nouvelle aide.
Le cadre réglementaire est bien défini. La Région remboursera les frais financiers du prêt. Toutefois, le montant emprunté ne doit pas excéder 20.000 €. Le taux ne doit pas dépasser 4,3 % et la durée maximale est de huit ans. Par la voix de Béatrice Leperlier, l'Alliance a expliqué que ce nouveau dispositif va endetter des jeunes qui débuteront avec un bas salaire dans le monde du travail.
Huguette Vidot, Didier Robert et Yolaine Costes, s'ils sont conscients de cette menace, veulent avant tout "proposer des opportunités aux étudiants qui veulent poursuivre leurs études, et qui n'ont plus de solutions de financement. Bien sûr qu'il y a risque d'endettement. C'est à chacun de choisir, de définir ses objectifs et de se donner les moyens d'aller au bout de ses efforts et de ses sacrifices".
"La Région Réunion continue a élevé le niveau des aides, il est évident aujourd'hui que dans ce contexte social et économique, chaque jeune doit aussi élever son niveau de responsabilisation", a dit Huguette Vidot, déléguée à l'Education et à l'Enseignement supérieur,
Le cadre réglementaire est bien défini. La Région remboursera les frais financiers du prêt. Toutefois, le montant emprunté ne doit pas excéder 20.000 €. Le taux ne doit pas dépasser 4,3 % et la durée maximale est de huit ans. Par la voix de Béatrice Leperlier, l'Alliance a expliqué que ce nouveau dispositif va endetter des jeunes qui débuteront avec un bas salaire dans le monde du travail.
Huguette Vidot, Didier Robert et Yolaine Costes, s'ils sont conscients de cette menace, veulent avant tout "proposer des opportunités aux étudiants qui veulent poursuivre leurs études, et qui n'ont plus de solutions de financement. Bien sûr qu'il y a risque d'endettement. C'est à chacun de choisir, de définir ses objectifs et de se donner les moyens d'aller au bout de ses efforts et de ses sacrifices".
"La Région Réunion continue a élevé le niveau des aides, il est évident aujourd'hui que dans ce contexte social et économique, chaque jeune doit aussi élever son niveau de responsabilisation", a dit Huguette Vidot, déléguée à l'Education et à l'Enseignement supérieur,
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